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Saint Louis Marie Grignon de Montfort
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Dès son plus jeune âge, Louis Grignon vit dans une intimité simple et confiante envers la Sainte Vierge : il comprend qu’ « on n’a pas Dieu pour Père, quand on n’a pas Marie pour Mère. »
Prêtre, il prêche dans les campagnes et incite les pêcheurs à la vraie dévotion envers la Sainte Vierge. Ses succès dans la région nantaise et surtout dans la future Vendée lui valent bien des hostilités. Il ne se décourage pas et continue son œuvre avec les mêmes moyens fort simples : prédications enflammées, constructions de calvaire, processions, méditations du Rosaire…
Il meurt au cours d’une de ses missions en 1716, à Saint Laurent sur Sèvre.
A l’exemple de Saint Louis-Marie, consacrons-nous à la Sainte Vierge : « Totus tuus » et acquérons auprès de lui une sainte ardeur missionnaire.
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Saint Dominique
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Brûlé par l’amour de Dieu et dévoré par le souci du salut des pêcheurs, Saint Dominique fonde en 1215 l’Ordre des Frères Prêcheurs, les Dominicains. Par la prédication, il entend ramener à la Foi catholique les hérétiques cathares et vaudois qui sont alors nombreux dans le sud de la France.
Mendiant, détaché des richesses matérielles, il se montre toujours plein de compassion envers les plus pauvres.
Demandons lui d’augmenter en nous l’amour de la Vérité et nous rendre ardents à témoigner par nos paroles et nos actions.
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Saint Padre Pio
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Prêtre franciscain mort en 1968, saint Padre Pio est un témoin ardent de la Croix du Christ, jusque dans les stigmates de la Passion qu’il reçut en 1918. Passant de longues heures à confesser, il nous rappelle aussi la miséricorde de Notre Seigneur et nous invite à la confiance : « Reposez-vous totalement sur le Cœur de Jésus comme un enfant entre les bras de sa mère. »
Lors de sa canonisation le 16 juin 2002, Jean-Paul II a dit de lui : « la messe a été la source, le sommet, le pivot et le centre de toute sa vie et de toute son œuvre. »
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Sainte Faustine Kowalska
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Née en 1905 dans une modeste famille polonaise, elle rentre à vingt ans chez les Sœurs de Notre Dame de la Miséricorde. Malgré une vie religieuse humble et ordinaire, elle est favorisée de grâces mystiques exceptionnelles. Notre Seigneur lui apparaît et lui donne pour vocation d’être la messagère de la Miséricorde Divine.
Jean Paul II l’a canonisée en 2000 et a institué, pour l’Eglise universelle, la Fête de la Miséricorde le premier dimanche après Pâques. En 2002, il a consacré le monde entier à la Miséricorde Divine.
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